Categorie: Société

Ta sœur, la précédente, a été une catastrophe Alors, avant de parler de ce que tu peux apporter de beau Laisse moi lui dédier la première strophe Et lui souhaiter de ne point apparaître de nouveau.

Faisons donc comme si je n’avais pas oublié, Comme si j’avais tout ficelé, prémédité De vous dire « Joyeux Noël ! » après l’heure. Faisons ainsi, chers amis ‪#‎Mondoblogueurs‬‬ Car à Noël il n’y a pas de faux prétextes Ni même de logique dans les textes. N’est-ce pas le moment prisé par les parents (Les bons et les autres) pour duper les enfants Avec un gadget acheté en grande surface Mais dont…

Bisou, bagage, tarmac… Maman revient bientôt Elle n’a pris qu’un sac Assorti à son blanc manteau. Maman revient bientôt Le temps que je pétrisse la pâte Il va être gros, mon gâteau Pour elle bon et à la bonne date. Elle n’a pris qu’un sac Alors offrons lui un autre, un grand De ceux qui se remarque Un sac, ou peut-être des gants Vu qu’il fait froid au delà des…

Parce que je suis porteur de vie, Que de mes entrailles, ton souffle est sorti; Tes yeux perlés ont cherché dans mon esprit Et trouvé la paix éternelle que je t’ai promise… Parce qu’à chaque âme qui s’éteind, C’est la grisaille qui sur des vies déteind ; Je n’ose penser aux stigmates d’un tel chagrin, Perdre un enfant est une indiscible hantise. Parce que tu es le présage d’un monde…

Tous concernés par la paix… Merci Yehni Djidji pour son message d’espoir pour la Côte d’Ivoire. Partagez avec nous votre message pour la paix sur cette page ou notre page facebook Je suis noir, Ce n’est pas le soleil qui m’a brûlé. C’est la couleur de mon âme endeuillée. Je porte le deuil, Le deuil de mon avenir hypothéqué ; D’hypothétiques projets mutilés, tronqués. J’étouffe ! J’étouffe de ne pouvoir…

Quand Hampath, blogueur à la plume nue et acerbe  Passe des commentaires critiques au verbe Cela donne… Babi se vide à dix-sept heures, les gens ont peur. Il y en a qui courent pour rentrer en dom, dos en sueur Et puis ta go va te doubler ce soir, c’est pas un son : Elle se crou dans maison en attendant les élections. Ah, mais toi même tu as gbé…

Il y a un vrombissement qui déchire l’air, L’entrechoc des ailes de cet oiseau de fer Volant au secours de cet esprit délétère Qui fuit loin de sa récolte de misère Sur son sillage, il a empoisonné la terre, De la putride semence de son fiel amer, Maintenant que l’odeur fétide lui donne le mal de mer, C’est lâchement sauver sa peau qu’il espère… Pendant que ses ouailles à terre,…

Un troisième camp existait, pourtant. Du moins, nous espérions l'inventer En clamant notre envie de la «paix maintenant».

Voilà qu’entre deux mots se glisse un soupir L’aveu de l’effort qu’elle voulait masquer, Le signe coupable d’une forme de plaisir Qui sur le visage se fait remarquer.