HARRY
Un hommage à un enfant parti beaucoup trop tôt en juillet 2010. Un jour de décembre, je l’avais vu naître, Puis, je me suis laissé disparaître, Emporté par les vents de la vie, Englouti dans mes propres envies. Mes jours s’envolaient, insignifiants, Perdus dans un abîme terrifiant. Mes jours mouraient, nombreux, inutiles, Célébrant accomplissements futiles. Et quand il fallut leur donner un chemin Mes souvenirs se donnaient la main, Formant…