Une lumière
La lumière est blafarde Pâlie par l’ombre sortie du cœur Les larmes sont bavardes Autant qu’est viscérale la douleur.
La lumière est blafarde Pâlie par l’ombre sortie du cœur Les larmes sont bavardes Autant qu’est viscérale la douleur.
S’il n’a pas trouvé la fontaine de jouvence, l’humain est a contrario doué dans l’art de se laisser vieillir… Pourtant, Je crois avoir atteint l’âge trouble Où les hommes, à tort mais à force Croient que la suite ne prend du sens Qu’avec femme et enfants Et quelques amis d’autant. Cet âge où l’on est vieux D’avoir trop vécu ou par choix De son programme télé Ou de sa coupe de…
Si vous aimez l’amour, vous aimerez Sandy, vous aimerez ses mots. Tout comme elle vous pouvez, vous aussi, nous envoyer vos textes via notre adresse mail ; Nous serons là pour les recevoir et les publier… À l’aube de chaque jour Quand tu auras besoin d’un sourire À prendre ou à offrir plus tard, Je serai là Pour te dire tout mon amour, Te donner force et raison.
Violent, comment le cœur peut se serrer. Suite du recueil avec un extrait sur la musique.
Merci à Ange, nouveau blogueur qui participe à la vie du blog avec ce poème. Vous aussi, n’hésitez pas à nous transmettre vos écrits à desmotsdesimages@gmail.com Tel l´écho d´un silence caverneux Un champ sans récoltes, sans produits, Elle porte en son sein, les morsures de la vie. Les parois rocailleuses de son ventre Ne peuvent sentir la douceur du fœtus. Son espoir d´être mère s´est tari Dans un océan d´incertitude.…
Bon dodo ma jolie, au lit ! Vas-y tôt aujourd’hui Car c’est demain Lundi Jour de merde, quasi maudit Où tout reprend soudainement vie : Les bouchons avec klaxons d’abrutis Qui, le temps du sabbat, tournèrent au ralenti ; Ceux-là ont bu puis vomi tout leur Samedi. Bon dodo ma jolie, au lit ! Car c’est demain Lundi, Il faudrait que tu aies bien dormi Pour ne pas être comme…
Quand le vent le plus violent est une brise La tempête n’est qu’un jour de printemps, Hirondelles chantant, papillons virevoltant La chanson du vent est l’hymne de la crise. Quand le zénith est un clair de lune L’été est aussi chaud qu’un automne. Quand mes jours regrettent les infortunes Qui violent leur quiétude monotone, Alors ma plume oublie tous ses maux Et mon papier vomit tout son encre Au large…