Beauté
Je voudrais bien vous écrire une nouvelle, un poème Un livre, un recueil, une ou deux bibliothèques Pourquoi pas ?
Violent, comment le cœur peut se serrer. Suite du recueil avec un extrait sur la musique.
Stéphane K parle de comment l’on peut perdre sa vie en futilité alors que l’essentiel est d’une si flagrante évidence. Voici comment ils perdent leurs vies A vivre le contraire de leurs envies, A refouler les désirs de leur cœur, A célébrer les jours de douleur
Te rencontrer, une bouffée d’air en apnée, Un nouvel horizon pour mon univers borné… Un espoir que le cœur, comme un phénix, Peut faire de la mort, un rédempteur supplice. Alors…, alors Je voulais t’écrire avec les plus beaux, Et les plus adorables de mes mots, Et te rendre fière d’être devenue disciple, D’un grand maître aux facettes multiples. Je voyais mes voyelles et mes consonnes, Se câliner, s’embrasser, à…
Mes mains tremblantes parcourant ton visage, Je m’extasie en respirant l’air que tu expires. Lorsque sur mes lèvres tu imprimes ton sourire, C’est mon âme entière que tes soins soulagent. Je dessine encore sur mes feuilles assoiffées Tes formes câlines invitant à d’infinies caresses. La tristesse de mes distiques se mue en tendresse Sous l’influence de tes rondeurs magnifiées. Mon imaginaire enchanté de rêve et de poésie Cherche à comprendre…
Je souffre de cette affectation singulière Qui crée chez la victime, affection pour son bourreau. Je voudrais comprendre comment toute ma colère, Et tous mes ressentiments sont retombés à zéro. Je me suis rendu à l’idée que pour moi, Décider de ma vie… ou bien de ma mort, Tu en as le pouvoir, et même le droit C’est pourquoi, je te hais, moins que je t’adore! J’avais pourtant tant d’orgueil…